Prologue, 1ere Partie
An de Grace 892, quelque part au Nord Ouest de la Wyr
La Néréide joyeuse, une galère marchande dunéenne faisait voile vers le nord du Pays des milles Rivières quand une peste se déclara a bord. Les malades virent leur souffrance de courte durée puisque une soudaine tempête se leva et échoua le navire sur les cotes gaelles emportant dans l’abîme tous les passagers.
Enfin, presque tous…
Une poignée de survivants furent recueillis par les habitants d’une petit hameau situé non loin de la rivière du Chêne fendu clowÿn* (Rivière n°872). Grand mal leur en pris, car parmi les survivant se trouvait une jeune fille au teint pâle comme lune et aux cheveux sombres comme la nuit.
Cette être était en réalité une servante dévouée du Nécromant qui avait ourdi un funeste plan pour frapper au cœur les ennemis de son maître.
L’abjuratrice de toute vie, première rétablie du naufrage, s’enfuit en laissant derrière elle la mort et la désolation.
Un mal inconnu à ce jour frappa sans distinction hommes et bêtes, tuant les plus faibles, amenant les plus forts aux limites de la folie.
Seuls une poignée de survivants, naufragés et villageois, eu la force de se lancer à la poursuite de la Maudite.
Ils arrivèrent dans le petit village de la Crique Grise (Rivière n°871 : Rivière de la Crique Grise) où la Concubine des Cadavres avait commencé son sordide office.
Partout les hommes tombaient sous les insidieux assauts de la maladie, l’espoir disparaissait au crépuscule.
Usant de leurs dernières forces, nos amis se lancèrent à l’assaut du navire ou se terrait la catin de la Liche.
Affrontant un terrible Ours souillé par le néant, passant outre une garnison d’êtres sans vie, ils réussirent a contrer un rituel de mort et à mettre en dérouté les forces du Nécromant.
Pour l’instant…
NdT : clowÿn se traduit par vert clair avec une légère teinte jaune
An de Grace 892, quelque part au Nord Ouest de la Wyr
La Néréide joyeuse, une galère marchande dunéenne faisait voile vers le nord du Pays des milles Rivières quand une peste se déclara a bord. Les malades virent leur souffrance de courte durée puisque une soudaine tempête se leva et échoua le navire sur les cotes gaelles emportant dans l’abîme tous les passagers.
Enfin, presque tous…
Une poignée de survivants furent recueillis par les habitants d’une petit hameau situé non loin de la rivière du Chêne fendu clowÿn* (Rivière n°872). Grand mal leur en pris, car parmi les survivant se trouvait une jeune fille au teint pâle comme lune et aux cheveux sombres comme la nuit.
Cette être était en réalité une servante dévouée du Nécromant qui avait ourdi un funeste plan pour frapper au cœur les ennemis de son maître.
L’abjuratrice de toute vie, première rétablie du naufrage, s’enfuit en laissant derrière elle la mort et la désolation.
Un mal inconnu à ce jour frappa sans distinction hommes et bêtes, tuant les plus faibles, amenant les plus forts aux limites de la folie.
Seuls une poignée de survivants, naufragés et villageois, eu la force de se lancer à la poursuite de la Maudite.
Ils arrivèrent dans le petit village de la Crique Grise (Rivière n°871 : Rivière de la Crique Grise) où la Concubine des Cadavres avait commencé son sordide office.
Partout les hommes tombaient sous les insidieux assauts de la maladie, l’espoir disparaissait au crépuscule.
Usant de leurs dernières forces, nos amis se lancèrent à l’assaut du navire ou se terrait la catin de la Liche.
Affrontant un terrible Ours souillé par le néant, passant outre une garnison d’êtres sans vie, ils réussirent a contrer un rituel de mort et à mettre en dérouté les forces du Nécromant.
Pour l’instant…
NdT : clowÿn se traduit par vert clair avec une légère teinte jaune