De la Physiologie de leur Vol
"...La nature précise du mode de vol des dragons a longtemps été une énigme pour les scientifiques de quelque école que ce soit. L'étude attentive et détaillée des squelettes de ces grand reptiles et de leur système respiratoire ont cependant permis de révéler des éléments capitaux à la compréhension de ce phénomène. Non seulement l'air pénètre par le nombril des dragons (qui se développe au sein de l'œuf), mais il semble qu'une multitude d'opercules, répartis sur l'ensemble de leur corps, remplisse la même fonction. Ainsi, l'air circule dans le corps du dragon, pénétrant par le nombril, circulant dans son organisme, alimentant des petites poches de tissus réparties sur son squelette, et finalement, s'évacue par ce qui a été baptisé les "opercules zéphyrins".
Chacun des os composant l'armature de la créature sont grevés de ces petites poches organiques, dont un grand nombre sont réparties dans le crâne. Nos investigations nous conduisent à affirmer que ces dernières poches protègent non seulement le cerveau du dragon mais assurent aussi son alimentation en oxygène. Cela pourrait aussi expliquer leur vive intelligence et leurs sens particulièrement aiguisés. Ces poches ne parsèment pas simplement le squelette, mais elles entrent aussi en contact avec la cavité du corps, constituant ainsi une épaisse membrane composée de bulles. Ces bulles ne peuvent pas être vues à l'œil nu. Ce sont elles qui se remplissent d'air lorsque le dragon est en vol, soulageant la créature de son poids titanesque.
Le système respiratoire du dragon, particulièrement singulier, lui permet d'instantanément remplir d'air les poches que nous avons évoquées. C'est ainsi que la créature peut instantanément prendre son envol, dès qu'elle le décide, d'un simple élan initié par ses puissantes pattes antérieures..."
"...La nature précise du mode de vol des dragons a longtemps été une énigme pour les scientifiques de quelque école que ce soit. L'étude attentive et détaillée des squelettes de ces grand reptiles et de leur système respiratoire ont cependant permis de révéler des éléments capitaux à la compréhension de ce phénomène. Non seulement l'air pénètre par le nombril des dragons (qui se développe au sein de l'œuf), mais il semble qu'une multitude d'opercules, répartis sur l'ensemble de leur corps, remplisse la même fonction. Ainsi, l'air circule dans le corps du dragon, pénétrant par le nombril, circulant dans son organisme, alimentant des petites poches de tissus réparties sur son squelette, et finalement, s'évacue par ce qui a été baptisé les "opercules zéphyrins".
Chacun des os composant l'armature de la créature sont grevés de ces petites poches organiques, dont un grand nombre sont réparties dans le crâne. Nos investigations nous conduisent à affirmer que ces dernières poches protègent non seulement le cerveau du dragon mais assurent aussi son alimentation en oxygène. Cela pourrait aussi expliquer leur vive intelligence et leurs sens particulièrement aiguisés. Ces poches ne parsèment pas simplement le squelette, mais elles entrent aussi en contact avec la cavité du corps, constituant ainsi une épaisse membrane composée de bulles. Ces bulles ne peuvent pas être vues à l'œil nu. Ce sont elles qui se remplissent d'air lorsque le dragon est en vol, soulageant la créature de son poids titanesque.
Le système respiratoire du dragon, particulièrement singulier, lui permet d'instantanément remplir d'air les poches que nous avons évoquées. C'est ainsi que la créature peut instantanément prendre son envol, dès qu'elle le décide, d'un simple élan initié par ses puissantes pattes antérieures..."