Après les heures de marche dans Balentyne à propager le venin qui empoisonnerait les coeurs du Fort, je profitais d'un bain salutaire.
La douce chaleur de l'eau détendait mon corps et je profitais de ce moment de calme pour laisser mon esprit divaguer.
En quelques jours nous avions effectué de nombreuses actions mais je devais avouer que les effets tardaient à apparaitre.
Corrompre les esprits nécessitait du temps et de la patience mais le problème actuellement était que le temps nous était compter.
Un gargouillis dans mon ventre me fit rapidement comprendre que ce n'était pas le moment de se morfondre et puis, de toutes façons, cela ne servait à rien.
Attrapant la serviette qui trônait sur la chaise à côté de moi, je me relevais et essuyais mon corps avec la serviette.
J'enfilais les vêtement propre que j'avais préparé la veille et la sensation de vêtement propre était un pur bonheur.
En quelques enjambées, je me dirigeais vers la porte et je descendis dans la pièce principale.
L'odeur du pot au feu vint titiller mes papilles.
Certes, j'aurais préféré le ragout de Mama mais un petit pot au feu ne me ferait pas de mal et je n'en apprécierai que plus mon détour demain midi.
Comme toujours les gardes discutaient dans leur coin et quelques membres de la troupe étaient attablés discutant du triste sort de Sandra.
Mourir bêtement en se rompant le cou dans le escaliers, quelle mort idiote.
Intérieurement, j'en venais presque à regretter la présence de la jeune femme.
D'apparence, elle était d'une stupidité crasse mais elle était tellement douée et venait d'un Prêtre d'Asmodée versé dans la Duperie, c'était un sacré compliment. Si elle nous avait rejoint, nous aurions pu faire de grande chose... Certes, nous aurions dû l'éliminer à la fin mais nous aurions pu donner un sens à sa vie et Asmodée lui aurait peut-être offert son salut pour avoir participé à sa grande cause.
Inutile de regretter, ce qui était fait était fait et quand je voyais notre troupe, je ne pouvais m'empêcher de me dire que nous avions plus que ce qu'il nous fallait pour accomplir notre mission si difficile.
Depuis que nous avions travaillé ensemble, j'avais pu admiré les talents de chacun et je dois avouer que j'avais un profond respect pour eux indépendamment du serment que nous avions proposé.
Barhold me déposa de quoi me sustenter.
La faim dévorant mes entrailles, je me décidais à attaquer sans attendre les autres, ils arriveraient bien assez tôt
La douce chaleur de l'eau détendait mon corps et je profitais de ce moment de calme pour laisser mon esprit divaguer.
En quelques jours nous avions effectué de nombreuses actions mais je devais avouer que les effets tardaient à apparaitre.
Corrompre les esprits nécessitait du temps et de la patience mais le problème actuellement était que le temps nous était compter.
Un gargouillis dans mon ventre me fit rapidement comprendre que ce n'était pas le moment de se morfondre et puis, de toutes façons, cela ne servait à rien.
Attrapant la serviette qui trônait sur la chaise à côté de moi, je me relevais et essuyais mon corps avec la serviette.
J'enfilais les vêtement propre que j'avais préparé la veille et la sensation de vêtement propre était un pur bonheur.
En quelques enjambées, je me dirigeais vers la porte et je descendis dans la pièce principale.
L'odeur du pot au feu vint titiller mes papilles.
Certes, j'aurais préféré le ragout de Mama mais un petit pot au feu ne me ferait pas de mal et je n'en apprécierai que plus mon détour demain midi.
Comme toujours les gardes discutaient dans leur coin et quelques membres de la troupe étaient attablés discutant du triste sort de Sandra.
Mourir bêtement en se rompant le cou dans le escaliers, quelle mort idiote.
Intérieurement, j'en venais presque à regretter la présence de la jeune femme.
D'apparence, elle était d'une stupidité crasse mais elle était tellement douée et venait d'un Prêtre d'Asmodée versé dans la Duperie, c'était un sacré compliment. Si elle nous avait rejoint, nous aurions pu faire de grande chose... Certes, nous aurions dû l'éliminer à la fin mais nous aurions pu donner un sens à sa vie et Asmodée lui aurait peut-être offert son salut pour avoir participé à sa grande cause.
Inutile de regretter, ce qui était fait était fait et quand je voyais notre troupe, je ne pouvais m'empêcher de me dire que nous avions plus que ce qu'il nous fallait pour accomplir notre mission si difficile.
Depuis que nous avions travaillé ensemble, j'avais pu admiré les talents de chacun et je dois avouer que j'avais un profond respect pour eux indépendamment du serment que nous avions proposé.
Barhold me déposa de quoi me sustenter.
La faim dévorant mes entrailles, je me décidais à attaquer sans attendre les autres, ils arriveraient bien assez tôt